Friday, March 19, 2010

Vous qu'est-ce que vous croyez ?

Vous souvenez-vous de ce paillasson ?

Depuis que je l'ai placé je remarque une tendance qui arrive tous les vendredis : je m'oppose souvent à ce que l'objet susdit est tourné de telle manière que l'avertissement sur le croisement de la frontière au pays d'Oz s'adresse aux habitants de la maison et non à ceux qui veulent entrer à elle. Je soupçonne que ce n'est pas un hasard qui est le vendredi quand ils nettoient les zones communes de la communauté de voisins.

Elles me viennent à l'esprit, quelques hypothèses qui expliquent ce phénomène :

1. Un hasard. La madame de la propreté ne sait pas d'anglais elle ni se dérange de lire les paillassons et elle le laisse comme il tombe.

2. La madame de la propreté connaît évidemment l'orientation correcte des lettres mais il croit plus adéquat que le message est lu depuis la maison.

3. Peut-être soyez en réalité échantillon de ton sarcastique très bien usé avec lequel la responsable cherche à me laisser le message dont en réalité le monde extérieur, la forêt en asphalte, est le chiripitifláutico et il ne faut pas sortir d'une maison sans un avertissement.

La troisième option serait celle que plus d'illusion me ferait, mais : vous qu'est-ce que vous pensez ?

Cela me rappelle que j'ai dans le dressing-room un post sur le peli du mage d'Oz, pour voir si je l'achève.


Streaming House S06E15 Black Hole free

En préparant le voyage de l'été

Comme dans tant d'autres situations de la vie, quand, de voyager, on traite les préliminaires, ils sont fondamentaux et proportionnent les grands plaisirs en même temps qui assurent un profit parfait de l'expérience.

Depuis ce week-end, les dromadaires nous avons déjà la réserve des vols des vacances d'août. Et dans cette occasion spécialement, si les préparations doivent être à l'hauteur que le destin à visiter nous exige, ce voyage va me requérir une longue préparation soigneuse.

Je suis que je ne le me crois pas.


Thursday, March 18, 2010

Le mage d'Oz : suspense un homme politique profascista

70 s'accomplissaient depuis peu añazos de la première Du mage d'Oz. Pour rappeler efeméride si multicolore le faraonato éminent de Madrid a installé une carpe sur la place des cubes où le film de forme gratuite on pouvait voir le Noël passé (mais oui, avec un chauffage puissant bien à un point), une occasion profitée par un serviteur pour recommencer à jouir de la magie du pays d'Oz, de la chose qui faisait déjà quelque décennie qui n'arrivait pas. Bien qu'il crût rappeler assez de bien l'argument je n'ai pas pu éviter de rester ébahi devant le développement du même et les lectures qui peuvent le sortir quand l'un a l'âme pourrie, comme c'est le cas.

Ojito avec le chien, qui a beaucoup un danger

Rappelons que l'histoire a à un protagoniste Dorothy (vous allez me permettre qu'il utilise le nom original et qu'évite d'user épouvantable “Dorita“ qui s'est employée dans le doublage à l'Espagnol et qui contribue à rendre seulement encore plus écoeurant un film qui déjà d'est par soi de comme manger des gâteaux de Noël mouillés dans miel et panés dans un sucre brun). Dorothy est une petite fille orpheline élevée par ses oncles qui vit dans une ferme de Kansas. Disons qu'elle est un peu niaise et que dix minutes de cuisson lui manquent. Nous ne connaissons pas bien à quoi il se consacre, mais nous savons qu'il adore son chien Totó, qui est le chien typique minuscule qui t'aboie quand tu le te croises dans le portail et lequel tu ne peux pas éviter de le t'imaginer en entrant dans une orbite lunaire d'un coup de pied. En fait, le film commence peu de temps après qu'il a mordu à sa pauvre voisine, la citadine Gulch, qui se présente évidemment à une maison des oncles de Dorothy et confisque le cánido susdit pour qu'ils mettent le microchip et vaccinent de la rage, cependant, le chien échappe, Dorothy le trouve et ensemble ils s'enfuient d'une maison. Malheureusement, ses plans voient tronqués par une tornade de force 5 qui les oblige à rentrer au foyer, mais trop tard pour entrer dans le bunker : enfin Dorothy et Totó finissent “en s'envolant” littéralement en parlant, avec toute la maison et en atterrissant dans un pays magique que nous nommerons URROZ, “l'union de républiques d'Oz”. Nous savons que l'URROZ est magique parce que nous la voyons dans tecnicolor, là le directeur a été habile, de l'autre forme le public se serait perdu.

Après être sorti de la maison nous découvrons que, involontairement, Dorothy vient de commettre un assassinat : le logement volant a aplati la “mauvaise Sorcière de l'Est”, qui gouvernait dans “l'Union de Républiques Socialistes de Pequeñilandia” (URSP). Remarquez-lui le qualificatif injuste que la défunte reçoit gobernant à, puisqu'elle, sans être déjà arrivé à connaître même, il nous est mediatizando dans son contre: et qui ? Puisque pas tout à fait plus et pas moins de l'une individuelle, d'une race aryenne par plus de signes, qui fait se sonner “la Fée bonne au Nord”, qui apparaît à Dorothy dans une bulle flottante. Nous avons déjà dit que Dorothy beaucoup de lumières ne consiste pas en ce qu'il a, par conséquent elle accepte sans critique le message que la Fée du Nord lui transmet : les habitants de l'URSP il vivait soumis au cruel joug communiste de la "mauvaise" Sorcière de l'Est et ils ont été libérés par la bonne de Dorothy. Désormais les pequeñines (un peuple naturellement prolétaire, avec une forte conscience de groupe, sans développement de l'individualité et de l'incapacité d'on même être gouverné) seront “libres”, ou ce qui est le même : la Fée du Nord a réussi à agrandir son aire d'influence aux territoires orientaux de l'URROZ.

Logiquement, ce déséquilibre en ordre établi de pleins pouvoirs fait qu'arrive preste la “mauvaise Sorcière de l'Ouest”, qui n'est pas d'une race aryenne ni beaucoup moins, mais elle est laide et verte. Dorothy, mediatizada par la Fée du Nord, interprète ce personnage méchant et son rejet est évident. Cependant cette réaction injuste n'est pas pas tout à fait comparée à la scène dont, abasourdis, nous sommes sur le point d'être témoine. Quand il n'a pas été encore réinstallé de l'impact de la nouvelle de la perte tragique de son parent (nous ne sommes pas personne), contrite et affectée la Sorcière de l'Ouest découvre avec stupéfaction que les souliers rouges de sa soeur (un souvenir de famille, de sa propriété légitime comme héritière de la sorcière morte et de possesseurs, comme nous verrons, des pleins pouvoirs spectaculaires magiques) sont littéralement fauchés devant ses nez et placés dans les pieds de Dorothy. Tout cela par l'oeuvre et la grâce de la Fée du Nord qui ne doute pas d'un instant d'arracher ce qui n'est pas le sien et il est donné à celui qui peut se mêler de tout à sa guise (à quoi commence-t-il à ne pas vous plaire ?).

L'hérédité de la discorde

Le colère de la sorcière est plus que compréhensible. S'il n'était pas déjà de par soi vert, nous ne doutons pas que ce mauvais tour aurait obtenu le même ton bronzé dans son épiderme (bronzé rouillé, quel Cocher du Delphes, est compris). La sorcière jure dans une vengeance et se retire, et Dorothy commence à se préoccuper parce que ce n'est pas évidemment Kansas et ils doivent déjà l'attendre pour dîner. Ici il est quand il a lieu l'une des stratégies les plus macabres de l'histoire du Septième Art, prenez note, des chers lecteurs, que Dorothy a déjà dans ses pieds les “claques en rubis” dans ce moment de la trame et comme nous savons il pourrait instantanément être rentré avec ses oncles sans avoir causé plus de problèmes dans l'URROZ. Cependant: qu'est-ce que lui la Fée du Nord conseille ? Puisque qui suit la chaussée de carreaux jaunes que conduit à la Ville l'Émeraude, où habite le mage d'Oz, qui est savant et il l'aidera.

La belle est une bonne fée, la laide est une mauvaise sorcière. Des enfants, vous devez vous laisser mener toujours par les apparences.

En sachant, comme sait la personne cultivée et formée, lequel va être du fait d'advenir des événements et qui est en réalité ce farceur qu'un mage fait s'appeler reste évident et cristallin que le voyage iniciático de Dorothy par le sentier de carreaux jaunes et tout ce qui va arriver dans lui est en réalité un stratagème méchamment arrangé par la Fée "bonne" au Nord. Un stratagème, par plus de signes, déjà préparés et ourdis depuis le premier moment de l'histoire. Ne me dites pas que ne vous se met pas le cheveu piquant.

Les prolétaires de l'URSP se quittent de Dorothy avec une chanson instructive où ils lui insistent sur le chemin à parcourir : celui de carreaux jaunes. Réfléchissons un instant à cette chaussée. Nous sommes sûrs que le chemin naît dans la capitale de Pequeñilandia-URSP, puisque nous voyons clairement comment il surgit d'une spirale sur la place du peuple, et nous savons de la même manière que le chemin achève dans la Ville de l'Émeraude. Cette route ne doit pas être un chemin n'importe quel, mais il unit les centres névralgiques de pouvoir de l'URROZ. Le premier d'eux est déjà tombé sous la domination de la Fée du Nord, et l'autre le fera par hasard. Il n'y a pas de doute de ce que celui qui contrôle les deux villes ait un accès aux points stratégiques de l'aire, et c'est ce que la Fée veut. Ici il y a un bref "mais", bien que je soupçonne qu'aucun lecteur ne le rappelle et je ne vais pas le mentionner pour donner une occasion à une plus grande discussion dans les commentaires et me pour éviter de rallonger trop.

Le chemin de carreaux jaunes connecte les deux centres névralgiques de pouvoir dans l'URROZ : Pequeñilandia et la Ville l'Émeraude

Le point central de la trame, comme vous vous rappellerez, il inclut la rencontre avec trois personnages : l'Épouvantail, l'Homme de fer-blanc et du Léon. Chacun d'eux montre un déficit dans une vertu qui déjà depuis des temps de Platón est mentionné comme nécessaires chez tout bon gouvernant : un déficit d'intelligence (l'Épouvantail), un déficit de coeur (l'Homme de fer-blanc) et un déficit de valeur (le Léon). Les rencontres avec chaque personnage sont assez pathétiques et la bonne de Dorothy, au lieu d'éviter les compagnies indésirables, il les rend participants de sa recherche spirituelle en restant du manifeste qui manque réellement à Dorothy une ébullition. Nous allons voir, si déjà la légitimité de Dorothy en consultant le mage d'Oz peut être mise en doute: quels nez peint-il dans ce voyage ces trois individus ? Si j'étais le mage d'Oz il n'aurait pas pu contenir ma colère : “Mais quoi est-ce que vous vous êtes crus qui est cela ? la Coupure Anglaise ?” un fâché leur aurait répondu à tout, mais bon, c'est une autre chose.

Comme il disait : ce voyage iniciático est composé quelques personnages déficitaires : un manque absolu d'âme rationnelle (lógos), incarné par l'Épouvantail; l'état pathologiquement faible de l'âme irascible (thymós) représenté tant par l'Homme de Fer-blanc comme par le Léon; et finalement un développement excessif de l'âme concupiscible (epithymía) incarnée par Dorothy qui, pour plus d'inri, est celle qui conduit l'expédition à son objectif. Nous concluons c'est pourquoi que cette expédition incarne ce qui serait l'antithèse du bon gouvernant du point de vue platonicien. Halez, là je laisse cela.

Petites trois pattes p’a une banque

Il n'est pas connu très bien comment, les marcheurs atteignent la Ville l'Émeraude, de deuxième centre de pouvoir de l'URROZ. Quand ils sollicitent une audience avec le mage d'Oz littéralement la porte leur se ferme dans les nez. Cependant dans ce moment la sorcière de l'Ouest recommence à se manifester et il demande à la ville qu'ils remettent Dorothy. Dans ce moment et par la crainte une guerre ouverte avec les terres de l'Ouest, le mage, intéressé il, oui qui accepte parlamentar avec la suite. Dans cette première séance on ne découvre pas encore que le mage est en réalité un farceur. Avec des trucs vulgaires du cirque il s'engage à accorder à Dorothy et à ses amis ses désirs … en échange du balai de la Sorcière de l'Ouest. À cette date du film nous nous sentons déjà que le mage désire mettre fin en réalité aux disputes territoriales des deux contrées (nous imaginons que limitrophes) avec la stratégie sale d'arracher à la sorcière son pouvoir.

Le mage sera un farceur, mais d'un sot il n'a pas de cheveux. Il est possible que quatre personajillos qu'ils sonnent à sa porte sont quelques sots et pas précisément la meilleure équipe que l'on peut désirer pour assaillir le château de la sorcière et pour donner un coup d'État mais: Vous fijásteis chez les habitants de la Ville l'Émeraude ? Ils sont encore pires que ceux de Pequeñilandia! Ils seraient incapables de tuer à une mouche, auraient peur avec un hochet et rappelons que les acolytes de la sorcière sont singes ailés qui scieraient n'importe lequel. Le mage a été rapide en pensant : il ne peut pas évidemment veut n'accorder les désirs qui lui sont demandés, mais c'est l'occasion qui mène en attendant des années et elle ne va pas la laisser échapper et c'est pourquoi elle utilise Dorothy et cía pour qu'ils essaient de voler le balai de la sorcière. Que méchant!

L'épisode suivant est basiquement honteux. La sorcière est avec différence la personne la plus capable que nous avons vue jusqu'à présent de gouverner un fief de l'URROZ. Bien qu'il séquestre Dorothy pour récupérer les souliers en rubis (rappelons-nous : de sa propriété légitime) il ne veut pas la tuer parce que oui, mais parce que c'est une condition nécessaire pour que l'on puisse lui retirer la chaussure magique. Quand l'Épouvantail, l'Homme de fer-blanc et du Léon assaillent le château il a lieu une bagarre dans laquelle on met en évidence qu'AUCUN d'eux n'a compensé le déficit initial : ils continuent d'être un sot, un cuatrolatas et un lâche. Si la situation finit par être résolue heureusement pour ceux-ci il est seulement parce que d'un hasard lui tombe un cube d'eau à la sorcière et celle-ci meurt. Une brève incise : la tienne est déjà une chance sale s'il te touche être sorcière verte et tu meurs avec une chose aussi stupide qu'un puñetero cube d'eau, de merde quel hasard. Presque je pleure quand je vois mourir à la sorcière de cette forme si indigne: il n'y a pas de droit! Sans ne le mériter pas du tout, Dorothy prend le balai de la sorcière et tous renvoient à la Ville l'Émeraude où le mage ne peut pas croire le bien qui lui est sorti tout.

Cependant, non tout allait être bonne chance et Totó découvre le gâteau après avoir bougé le rideau où il se cache : en réalité le mage est un farceur. Cela complique tout, parce qu'un mage puissant peut commander de faire simplement puñetas les personajillos qui ont résolu le billet, mais quand le gâteau a été découvert c'est une question de temps que les habitants de la Ville s'informent de l'Émeraude et ils finissent par se rebeller. La réaction rapide et lâche est celle de fuir : l'oreille les mange à l'Épouvantail, à l'Homme de fer-blanc et au Léon pour que l'on pense qu'ils ont surpassé ses phobies (nous venons de voir que c'est un mensonge dans l'épisode du château), et il leur donne quelques objets ou talismans pour qu'ils se confient. C'est une décision dure laisser le gouvernement de la ville à ces trois non présentables, mais un remède ne lui reste plus. Il décide de partir finalement dans un globe avec Dorothy. Il va la porter théoriquement à Kansas, mais il cherche à la pousser secrètement quand ils auront atteint assez de hauteur pour être défait du dernier de ses problèmes (elle est finalement la dernière responsable de la fin de son règne dans la ville).

Je vous ai dit que le chien avait beaucoup un danger, regardez-lui, sur le point de la lier encore une fois

Dans le dernier moment, de nouveau c'est Totó qui modifie les plans : la pute le chien des testicules qui n'a pas arrêté de faire des bêtises depuis qu'il a commencé le film saute du globe juste avant de décoller et Dorothy échappe à son destin. Elle reste très triste parce qu'elle ne peut pas revenir à Kansas, mais quel deus ex-grue géante apparaît la Fée bonne au Nord et l'informe: oh des champs de solitude, oh des coteaux tristes! il que suffit qu'il frappe les souliers en rubis trois fois pour qu'il rentre avec ses oncles : les mêmes puñeteros souliers qu'il portait depuis presque le commencement du film. Qu'est-ce que toute personne aurait fait avec sang dans les veines ? Puisque logiquement mettre les souliers en rubis à la Fée où le dos perd son nom et il devient surtout l'oeillet, mais : non! Dorothy lui fait un cas sans rechistar et est magiquement effectivement transportée à Kansas où, remince, tout a apparemment été un sommeil.

Apparemment, je dis, c'est une fin heureuse pour Dorothy, mais il l'est encore plus pour la Fée du Nord. Récapitulons sa situation au commencement et à la fin du film.

En principe, la Fée du Nord ne contrôlait aucun des centres d'un pouvoir de l'URROZ, elle avait deux inimités mortelles (une à l'est et l'autre à l'ouest), avec des objets ses de pouvoir magique (un souliers et un balai) et basiquement, bien qu'il pût voler dans des bulles magiques c'était un doñanadie.

À la fin du film l'equilibre des pouvoirs a radicalement changé : tant la sorcière de cela comme de celle de l'ouest elles ont été éliminées. Dans Pequeñilandia-URSP il y a une vacuité de pouvoir qui ne lui coûtera pas de rassasier, puisque les pequeñímanos s'habituent à obéir et ne sont pas rival pour une Fée. En ce qui concerne la Ville l'Émeraude, l'autre centre de pouvoir, est gouverné par trois personnages qui, comme nous avons vu, sont les uns ineptes et dans qui de plus il a une capacité prouvée d'influence. Les deux rivaux uniques qui restent dans toute l'URROZ (le mage et Dorothy) ont été neutralisés d'une manière permanente, et les deux objets magiques sont dans son pouvoir (nous ne sommes pas sûrs que les souliers trouvent Kansas déplacé avec Dorothy et la sécurité qui ne lui coûtera pas beaucoup de travail de lui prendre le balai au triumvirat).

Une conclusion : pour qui la fin du film est réellement heureuse il est pour la Fée, un tirana aryen sans les scrupules qui a utilisé à Dorothy pour soumettre tout le pays d'Oz sous sa domination et qui ne les permet pas ni merci.

En tenant en compte que l'oeuvre date de quand Hitler est parti à veranear en Pologne (1939), de l'exaltation qui est faite de la tyrannie et de l'allusion continue l'infériorité des régimes communistes, je crois qu'il est évident que ce film est en réalité une oeuvre de propagande fasciste qui a secrètement réussi à se glisser à Hollywood de l'intention classique de “pour voir s'il passe”.

Là cela reste.


Des jouets pour annuler la volonté

Connaissez-vous le jouet fantastique “une balle dans le bond” ? (à partir du deuxième 29, et je le sens par la mauvaise qualité).

Il me donne le bête rire en voyant cette annonce : “qui est-ce qui a besoin d'une stimulation électronique quand tu peux avoir une lèche-bottes attachée à un bond ?”, puisque cela, toute l'effort de la publicité centré dans vendre une connerie. Peut-être il vous semble que l'exemple est exagéré, mais aujourd'hui ils m'ont passé une autre cette annonce, authentiquement réel (merci, Esther) : Le Swing Wing! Comment avez-vous pu passer votre enfance sans l'un de ceux-ci ?

Un document terrible arrivé du passé pour nous faire réfléchir à la petitesse des temps qui nous touche vivre.

Ea, et pour que vous ne restiez pas méditatifs et préoccupés, ici d'autres jouets cañís pour desengrasar.


Wednesday, March 17, 2010

Des vérités moyennes sur le CO2

Dans cela qu'arrive SuperSantiEgo et il me fait arriver ce vidéo (cortito) :

Un dioxyde de carbone : la respiration vitale

Pour lesquels vous n'êtes pas tannés en anglais, basiquement ce monsieur dit, j'ai pris racine de la forme grandiloquente, qui lui a donné de mettre beaucoup d'aquariums avec plantes à l'intérieur et qui a voulu prouver ce qui passait quand “insuflaba” des concentrations distinctes de CO2. Je le dis bien d'insuflar parce qu'il affirme littéralement que pendant 19 mois chaque nuit il rassasiait à des souffles distincts un nombre de seringues avec l'air exhalé de ses poumons aux aquariums, en obtenant ainsi dans ceux-ci des atmosphères avec des concentrations distinctes de CO2. Comme vous voyez tout il reste comme très "divin". Après ce temps il a vérifié qu'il y avait une très claire corrélation entre les aquariums avec air enrichi dans CO2 et ceux-là où les plantes avaient plus grandi. Cette observation très habile lui sert pour conclure qu'en réalité le dioxyde de carbone est “le gaz de la vie”, qu'il favorise la production de biomasse et que par conséquent toutes les affirmations dont il s'agit d'un produit les contamine-toi ce sont des tentatives de confondre et de manipuler.

Je ne sais pas si vous serez surpris que vous dit que je suis absolument d'accord avec ce monsieur essentiellement tout ce qu'il dit c'est certain, maintenant bien, le problème vient quand on essaie de filtrer cette information, faussement présentée comme des découvertes nouvelles, comme arguments contraires à la nécessité d'éviter le chauffage global.

Dès que, nous allons par des parties :

La première perversion a à voir avec l'expérience dans soi. Comme vous savez, les plantes vertes absorbent un dioxyde de carbone atmosphérique et le transforment en matière organique avec aide de la lumière solaire grâce à un processus appelé photosynthèse et qui a pour des produits résiduels des molécules d'oxygène, hautement des polluants (pour selon qui). L'essence du processus consiste en ce que, en réalité, le carbone qui fait une partie des tissus du végétal et qui tout de suite, selon les chaînes tróficas, passe à tous les animaux de l'écosystème, provient précisément du dioxyde de carbone absorbé dans la photosynthèse. Pas en vain à ce processus on le nomme fixation du carbone, et joue le rôle principal dans lui l'un des enzymes les plus importants de la biosphère : le ribulosa 1-5 difosfato carboxilasa-oxidasa (RuBisCo, pour les amis).

Sachez, des amis du blogoplancton, que la vie sur cette planète comme nous la connaissons aujourd'hui un enzyme présent dépend dans la portion très importante de cela à toutes les plantes avec photosynthèse oxigénica et que, comme une démonstration indubitable du dessin intelligent, se trouve terriblement inefficace, je la motive par qui il faut produire dans de grandes quantités, et en fait on estime que c'est l'enzyme le plus abondant de la biosphère.

Comme tout celui qui sait quelque chose d'une chimie il peut corroborer, l'une des formes d'accélérer la vitesse d'une réaction est d'augmenter la concentration des réactifs, spécialement s'ils constituent un facteur limitante. En comprenant que le dioxyde de carbone se trouve dans l'atmosphère très dilué (0.04 %) sont évidents qu'une augmentation dans la concentration du même augmentera évidemment la fixation du carbone et par conséquent la production de biomasse.

Par exemple, ce phénomène est connu en trop entre les acuaristas, qui injectent un dioxyde de carbone à l'eau pour que les plantes grandissent plus, et je peux dire par une propre expérience que la différence est abyssale : quand j'ajoute ce gaz à mon aquarium j'ai à tailler les plantes toutes les semaines, la chose qui n'arrive pas quand la bouteille est restée vide.

Il donne basiquement un peu d'une honte étrangère (et d'un rire) que ce monsieur lui donne tant d'importance à une expérience qui peut être faite dans un cours de biologie de baccalauréat et elle le bande comme une investigation de pointe, mais vous savez déjà qu'Internet est ce qu'il a. Déjà mis, son vidéo pouvait être bien meilleur si, au lieu de dire des bêtises et en donnant des souffles à des seringues, quelques bouteilles de CO2 auraient été achetées au magasin d'animaux d'à côté de sa maison : l'expérience aurait été beaucoup plus rigoureuse et il ne se serait pas hyperventilé tant. De plus, la concentration de CO2 dans l'air exhalé peut être très variable et ce n'est pas, ni beaucoup moins, un gaz dans une haute concentration.

La deuxième perversion consiste en ce qu'il essaie de se servir de cette découverte supposée sa pour affirmer que le chauffage global est mensonge parce que le CO2 n'est pas polluant.

Effectivement le CO2 n'est pas polluant, il est plus, c'est un gaz fondamental pour le fonctionnement de la biosphère, et l'effet de serre qu'il produit est également nécessaire pour l'équilibre des écosystèmes. Sans lui la Terre serait une planète glacée, comme il l'a aussi été dans quelques moments du passé. Le CO2 est nécessaire, le problème vient quand des changements même petits dans sa concentration augmentent l'effet de serre jusqu'au point de modifier le climat que nous expérimentons.

C'est intrinsèquement que c'est bon ou mauvais, mais si les modèles sont dans le certain et une augmentation d'à peine certains degrés de température au niveau mondial ils provoquent que fondent les banquises polaires, qui fondent les réserves d'eau douce des montagnes que modifie le fenología de plantes et d'animaux (en incluant ceux qui nourrissent la population), que desertifiquen les aires peuplées, qui étendent des maladies et une longueur et cetera, il n'est pas très difficile de conclure que par un propre égoïsme il nous est intéressant d'essayer de conserver un équilibre avec l'environnement.


Le de l'effet de serre. Oui, je sais déjà que tous vous le savez.

Il est très possible qu'avec la déformation habituelle de l'information qu'ils réalisent les médias massifs, les gens ont fini par considérer que le dioxyde de carbone est un type de polluant. C'est catégoriquement faux, et perpétuer cette idée sert à favoriser seulement des interprétations tendancieuses comme celle du vidéo du commencement de l'entrée. Il n'est pas non plus certain que l'effet de serre est un peu négatif, très au contraire, c'est nécessaire, et s'il semble dangereux pour l'humanité et l'actuelle biodiversité est par une question d'excès, mais non parce que c'est le résultat d'une pollution de l'air.

Avec certitude, l'augmentation de la concentration atmosphérique de CO2 provoque une augmentation dans le processus de fixation du carbone, et par conséquent, la production de biomasse est plus grande que dans des temps immédiatement précédents à l'augmentation antropogénico de ce gaz dans l'atmosphère. Cependant, le processus de fixation du carbone n'a jamais été le motif de souci, mais les effets indésirables dans le climat qui a une augmentation de l'effet de serre.

Dès que pour voir si tous faisons un effort pour être bien informés, parce qu'il est précisément quand les concepts se n'ont pas d'espaces le moment idéal dans lequel ils te filtrent un vidéo de l'yutú avec plantes dans des aquariums et une musique sensationnelle et ils te font la membre un ballot.


Faire de la recherche est d'investir dans un avenir

Que l'investigation scientifique vient en maltraitant systématiquement en Espagne depuis des siècles c'est quelque chose que vous n'avez pas besoin qu'il vous rappelle. Il y a certains mois, à la suite de l'annonce d'une coupe dramatique dans le budget d'I+D, une partie importante de la communauté blogosférica s'est mise d'accord pour répéter que la Science en Espagne n'a pas besoin des ciseaux. En donnant par le fait qu'en général ils ne font pas aux citadins je ni me marie quand nous nous manifestons, demain approchète le moment de faire quelque chose de plus qu'adhérer à une campagne. la Fédération de Jeunes hommes Investigateurs (FJI-Precarios), l'Association pour l'Avance de la Science et de la Technologie en Espagne (AACTE), à l'Association Nationale d'Enquêteurs Ramón et Cajal (ANIRC), à l'Association Nationale d'Enquêteurs Juan de la Cierva (ANIJDC), à l'Association d'Enquêteurs Parga Pondal (AIPP) et à l'Association Nationale d'Enquêteurs Hospitaliers (ANIH) ils ont convoqué pour lendemain à Madrid l'une des manifestations dans la défense de l'investigation scientifique plus important qui se rappellent. Cela vient à être le dénouement de ce que nous expérimentions dans les derniers mois, quand après ce qui semblait que cela allait être un pari timide mais compromis avec la science, on nous a démontré que ce continue d'être le pays de “qui inventent les autres”. La menace dans les coupes budgétaires continue de planer sur les universités et les centres de recherche et des administrations distinctes de l'état jouent le rôle principal dans elle à quelques niveaux; devant la crise économique on choisit de tourner le ladrillazo et de ne pas faire “d'expériences“ avec ce que njecesita quelque chose de plus que des piqûres ponctuelles d'enthousiasme avec quatre ans de caducité; les convocations de bourses et de contrats pre et postdoctoraux ils continuent d'être en retard et chaque année ils tournent les mêmes incertitudes habituelles (pour ne pas parler des contrats qui n'ont pas été renouvelés dans les derniers mois); nous suivons sans avoir de course investigatrice proprement dite et la “loi future de la science”, qui lève assez de méfiance, il fait soupçonner qu'en réalité se fréquente d'une pièce ad hoc sorti de la manche dans le dernier moment.

Il continue d'être très nécessaire de faire un peu d'un bruit. Les enquêteurs nous ne l'avons pas comme très facile parce que nous ne sommes pas un collectif si nombreux comme les autres. C'est pourquoi, si tu as été dont te solidarizaste avec cela “des Ciseaux Non”, que tu sais que demain tu es nécessaire à 12:00 heure sur la Place de Colomb.

Ici tu peux lire le manifeste, dont l'extrait a été publié dans Science :

“L'investigation et l'innovation sont cruciales pour le développement et le bien-être de la société. Dans le contexte de l'actuelle crise, le modèle économique de l'Espagne est urgent de changer derrière une économie soutenable. Cependant, nous observons que l'inversion dans une recherche et développement est le premier “dommage collatéral” dans les finances de l'État, bien que nous consacrons seulement à Investigación+Desarrollo+innovación (I+D+i) 1 ’35 % du PIB. Un collectif très affecté par ce "coup de ciseaux" sera celui des aspirants à entrer dans la course investigatrice et, spécialement, celui des hommes de science avec le contrat temporel, qui verront dans de nombreux cas comme celui-ci n'est pas renouvelé, après toutes ses années de travail, pendant un processus de formation et de perfectionnement il est resté financé en grande partie par l'État, qui ne profite pas ainsi de son inversion.

Le secteur scientifique a été totalement ignoré des anticrises mesurées, quand un Plan Et consacré à l'Investigation et aux infrastructures scientifiques il pourrait avoir accompli les mêmes objectifs qu'effectivement réalisé et avoir supposé un saut qualitatif utilisable dans des années postérieures. L'augmentation de l'arrêt devrait avoir poussé un programme national urgent de formation d'enquêteurs et de techniciens et d'un recyclage de travailleurs de secteurs excédants; de plus, c'était un moment excellent pour pousser les activités d'I+D+i dans le secteur privé.

Le système scientifique espagnol souffre d'une série de malheurs structuraux, endémiques, qui sont, dans le meilleur des cas, parcheados d'une manière déficiente, comme le changement continu des responsables bureaucratiques et des structures de gestion de l'investigation, le manque d'un calendrier fixe de convocations de projets de recherche, l'arbitraire et le manque de planification dans les systèmes de sélection, de promotion et de stabilisation du personnel, et la paralysie de diverses initiatives législatives nécessaires.

Nous croyons qu'il est temps de sortir à la rue et d'exiger un pari clair et décidé par une société basée sur l'investigation et le développement comme piliers d'avenir, d'exiger une augmentation réelle des recours publics et privés dans le secteur d'I+D+i, de manière que dans le plus court possible délai le bas européen soit égal à % de PIB, et d'exiger le dessin d'une course investigatrice qui favorise la stabilisation des enquêteurs.

Différentes associations, sociétés, syndicats, groupes et enquêteurs en bas des signataires nous croyons que c'est le moment de que toute la communauté scientifique, tous ensemble, nous parions du blanc et résolument par la science et l'innovation en Espagne.”

Plus d'information dans “Par l'investigation“.

Et d'un cadeau, exclusivement pour Les Histoires Eulerianas le président du gouvernement a expliqué un peu pourquoi passe ce qu'il passe.


Tuesday, March 16, 2010

D'abord ils ont découpé les enquêteurs … mais je n'étais pas investigateur

C'est seulement une brève réflexion sur la manifestation d'hier. Je ne veux pas qu'il semble que je jette une bagarre, mais il est bien que l'on mette sur la table quelques faits pour que personne n'emporte à une tromperie.

1. Les organisateurs en général et Précaires en particulier ils ont fait un très grand effort pour que ce ne fût encore une manifestation. Ils comptent des mois en l'organisant et en lui donnant toute la diffusion possible pour un événement d'une broderie à jour plutôt modeste comme il était on est comparé à ceux d'autres collectifs et dans qu'un poquitín d'appui se serait beaucoup vu et remercier.

2. Je crois personnellement que la manifestation a été un échec. On ne me donne pas bien calculer des affluences bien que les nombres oscillent entre “quelques centaines” et 2500 personnes (et 2500 me semble déjà une exagération). Malgré ce que cela cherchait à être l'une des manifestations les plus importantes des enquêteurs, différents des présents nous rappelions d'autres plus nombreuses concentrations de boursiers par des sujets de mineur mouillé, et cela que pour l'occasion des autobus avaient affrété pour qu'ils arrivassent investigateurs de toutes les parties de l'Espagne.

3. Ce n'était pas une manifestation sur des bourses ou une précarité. C'était une manifestation par l'investigation et donc celle-ci doit signifier dans un pays que l'on veut considérer développé. Malgré cela, la plupart d'assistants nous étions jeunes hommes pre ou postdoctoraux. Ils brillaient par son absence, les professeurs titulaires, les professeurs, les fonctionnaires en général et des enquêteurs avec un poste fixe (avec des exceptions honorables). C'est-à-dire que nous étions les habituels.

4. Ils brillaient aussi par son absence, les manifestants qui n'étaient pas impliqués directement dans le monde de l'investigation (de nouveau, avec des exceptions très honorables). A priori il peut sembler évident qu'à une manifestation va seulement celui qui est impliqué directement, mais après cela des Ciseaux Non, l'un, qui ne profite pas d'une leçon dans ce qu'à une ingénuité il se réfère, peut-être espérait que pour la première fois c'était une manifestation dans laquelle plusieurs de ces personnes anonymes pas investigatrices qui semblaient si indignées de la coupe budgétaire allaient donner le visage. Le précité : ma faute, par ingénu.

Qui est sûr qu'il me semble phénoménal, que chacun fait ce qui lui donne l'envie, comme il doit être, et que bien sûr derrière chaque absence il y aura une explication totalement justifiée qui n'est pas mon sujet: il manquerait plus!

Un proverbe cela, que personne n'emporte à une tromperie au sujet du “pouvoir d'Internet”. Fusionnent tous à une cause commune en lui permettant à d'"accepter" dans le bouton du groupe de féisbuk ou en collant un banner dans le bloj mola beaucoup, coûte peu, fait sentir mieux et même peut faire penser que quelque chose est fait par la science qu'importe à tous une ingérence et reste superguay s'afficher d'un sceptique, d'un athée et d'une libre penseur. Des révolutionnaires de pyjama et de pantoufles. Quel bien nous passons en nous unissant, en mettant le cri au ciel et en révisant les visites et le karma: hein des garçons ?

Je suis à ceux qui doutent beaucoup du pouvoir des manifestations, mais si une société n'est pas même ni disposée à sortir à la rue un samedi le matin c'est qu'elle n'est pas disposée à ne rien faire.

UNE ACTUALISATION :

Un album de photos de la manifestation, d'Alfie

Manifa par l'investigation : ainsi il nous va

Où estábais ?

La manifestation la mieux élevée de l'histoire


Des champignons, des vers et une conception du monde

Tous avons notre propre manière de comprendre la réalité, bien que cela ne veuille pas dire qu'elle est représentative. Pensons, par exemple dans les nemátodos. “Est déjà le pesao ce”, direz-vous plusieurs “en parlant des bêtes immondes”, bon puisque oui. Les nemátodos viennent à un conte parce que, sauf gráce à des certaines maladies pas très agréables, la majorité des êtres humains nous la vivons totalement étrangers à son existence. Ce ne sont même pas des jolis vers, comme les poliquetos, ou moyennement intéressants ou dégoûtants, comme les sangsues, c'est simplement un ver réduit à son expression minima, blancuzo, fade, minuscule et complètement obviable.

Des lecteurs, ici un nemátodo, nemátodo, ici quelques amis

Prés de 25.000 espèces de nemátodos sont connues. Cela peuvent être plusieurs, mais dans le contexte d'un million et demi long d'espèces d'organismes (à 70 %, des insectes) qui sont connus ne sont pas plusieurs, à peine 1.6 % modeste. Eh bien, étant donné que les nemátodos sont partout et établissent une toute espèce de relations symbiotiques, souvent très étroites avec quelques organismes déterminés, on pense qu'avec toute probabilité l'importance des nemátodos a été sous-estimée beaucoup, probablement dans l'un ou plus d'ordres de grandeur. En fait, quelques spécialistes en invertébrés soupçonnent qu'en réalité les nemátodos pourraient avoir une diversité comparable ou supérieure à celle des arthropodes. Si nous lui ajoutons cela que, malgré ce que nous ignorons combien d'espèces existent dans tout le monde, mais tout le monde paraît de l'accord dans lequel nous connaissons seulement une petite partie, nous parlerions des millions d'espèces de nemátodos en pullulant par là. Le monde est un gusanal.

Pensons maintenant aux champignons. Le même vous vous croyez que vous savez plus des champignons que de nemátodos, mais il ne faut pas non plus exagérer. Sûrement quand on vous parle des champignons pensez à cela :

Très bons à la dépression et aux omelettes

Et voilà que vous vous tromperez aussi. Les "champignons" sont seulement le corps reproductif visible qu'une poignée d'espèces produisent pour libérer les spores, mais le vrai "corps" du champignon sont les hifas : un réseau de filaments microscopiques qui passent la vie sans peine et gloire surtout dans le sol. C'est-à-dire que bien que certains produisent des champignons, le champignon est basiquement l'ensemble d'hifas anodins qui marchent par là perreando sans que nous ne leur prêtions de l'attention la plus minimale.

Hifas. Ne regardez plus, c'est tout

De nouveau en parlant dans des nombres : il a décrit environ 70.000 espèces de champignons (quelques séquences d'ADN ne sont connues de certains d'entre eux qu'obtenues à l'aveuglette). Bien que les estimations aient beaucoup oscillé dans les dernières années, il semble que très possiblement ils existent sur un million et demi d'espèces de champignons c'est-à-dire tant d'espèces comme qu'aujourd'hui il a décrit en joignant tous les êtres vifs modernes. De nouveau, une diversité inabarcable et anonyme, enterrée et dans l'obscurité ou en passant inaperçue pour l'humanité dans une proportion immense.

Ce parallélisme entre les nemátodos et les champignons n'est pas hasard. Pour l'être humain ce sont des créatures absolument étrangères qui ne nous disent rien : elles sont petites, pauvrement utilisables, souterraines, nous intergesticulons seulement avec une petite proportion de sa richesse, rien représentative et pour nos sens elles sont énormément ennuyées et uniformes … et cependant peuvent être l'un des pierres angulaires de la biosphère. Son monde est absolument distinct : sans lumière et sans son, mais avec une pléthore de signes chimiques et d'interactions complexes que nous ne nous taillons pas n'imaginer.

En partageant tant de choses, il n'est pas étonnant que les deux lignages intergesticulent fréquemment. Peut-être le plus surprenant qui arrive que nous savons est qu'h une plainte champignons nematófagos c'est-à-dire les champignons qu'ils "mangent" nemátodos.

Les champignons nematófagos plus de connaissances produisent quelques pièges avec la forme d'anneau qui se ferment quand le ver passe à travers de lui en l'attrapant et, par hasard, en le digérant grâce à quelques hifas spéciaux qu'ils lui sucent au ver jusqu'à la première bouillie.

Un nemátodo, étant attrapé par deux pièges dans un anneau d'un champignon.

Une animation du piège (la version constrictrice)

Je n'ai pas trouvé le vidéo où on voit comment le moment de la capture, mais ici nous voyons un malheureux nemátodo en essayant d'échapper futilement à son champignon captor.

Ces anneaux sont seulement l'un de six types des pièges que les champignons ont développés pendant son évolution, y compris des cheveux collants de formes distinctes, de noeuds, et de vrais réseaux. Selon cette page on connaît 160 espèces de champignons qu'ils dévorent ou parasitan à nemátodos. Nous savons que ce sont une petite partie d'un montant beaucoup plus grand d'à qui notre ignorance est encyclopédique. En extrapolant l'information sur les estimations nous pouvons calculer que, comme un minimum il y a 4000 espèces de champignons des chasseurs de vers, un nombre quinze fois plus haut que celui de mammifères carnassiers qui existent.

Pensons finalement aux images du documentaire que nous avons des mammifères carnassiers en chassant : des lions en poursuivant à des gazelles, des loups en courant derrière des porte-muscs, le renard de tour en tuant une perdrix, l'ours en pêchant des saumons à l'Alaska, et une longueur et cetera. Eh bien, il y a un univers au moins quinze fois plus divers sous nos pieds auquel des champignons malfaisants mettent des pièges à des vers, des embuscades chimiques s'étendent, des escapades spectaculaires et la vie se produisent et la mort ils suivent totalement son cours par-derrière nous, que nous nous croyons si importants avec nos vertèbres, nos yeux et nos hypothèques. Et de nouveau, c'est seulement une très petite proportion de cet univers parallèle que mis veto à notre compréhension, et tout cela dans la crasse et la terre que nous foulons. Je n'ai pas le goût de vous mais à la vie comme un ver vient à essayer de me voir très bien. Il fait curieusement que je me sens moins important.


Monday, March 15, 2010

Deux centimètres d'herbe

La protagoniste de cette entrée est un petit papillon bleu soi-disant Phengaris rebeli, (antérieurement sous le genre Maculinea) aussi une connaissance comme “hormiguera des grains de beauté“. L'Est minuscule lépidoptère est bien connu depuis beaucoup de décennies de la part des entomologistes gráce à quelques particularités très curieuses de son cycle vital. Il appartient à la famille des licénidos, de quelques petits papillons et de la beauté délicate et discrète que des passions lèvent entre des certains photographes. Beaucoup de larves de licénidos montrent un type de mutualisme avec les fourmis, en étant commun que celles-ci les défendent à ses plantes nutricières d'insectes des prédateurs en échange d'une mélasse qu'exudan par quelques glandes de sa cuticule. Cependant l'espèce qui nous occupe est devenue connue précisément pour aller un pas plus loin et compléter la dernière phase de sa métamorphose dans une fourmilière. Il a apparemment été en 1956 quand un enquêteur britannique a vu par hasard comment une larve dans un dernier stade de la Phengaris était "laissée tomber" de la gentiane qui l'avait nourrie et comment une fourmi ouvrière de l'espèce Myrmica nausithous l'emportait à sa fourmilière.

L'entomólgo dans une question est venu de filer ce qui arrivait et a fait connaître le phénomène curieux : la larve devait souffrir de son dernier linge de rechange tel quel dans la fourmilière, en étant de cette façon la chrysalide sûre et protégée sous terre, en émergeant comme adulte dans le moment adéquat. La découverte de cette singularité a attiré l'attention sur cette espèce de papillon qui prenait du temps dans un recul franc et vers la fin des années 50 elle était pratiquement éteinte en Grande-Bretagne. En 1960, comme une mesure désespérée, la société entomologique de tour a acheté le terrain où il vivait la dernière population anglaise de Phengaris rebeli et le valló comme la dernière tentative d'éviter sa disparition. Faisons ici un commentaire dû sur l'intervention bien intentionnée de ces Anglais. Je ne sais pas combien d'exemples préalables il y aurait des mesures de protection d'une espèce d'invertébré, mais je ne crois pas que c'était plusieurs. Malheureusement, certaines années après, ce papillon a certainement disparu de ce bord de la Manche. Une décennie après, le parent Phengaris arion voisin (=Maculinea arion), a suivi par le même chemin et elle s'est éteinte dans tout le pays.

L'histoire continue en Europe continentale, où les connaissances ont été agrandies sur la biologie de l'hormiguera de grains de beauté. Il s'est terminé en éclaircissant, par exemple, la tromperie biochimique qui lui permet de partager un habitacle avec les fourmis jalouses : quelques glandes poreuses sécrètent une substance attractive pour les fourmis, tandis que les soi-disant "tentacules" se chargent de produire la phéromone qui identifie cette larve comme une fourmi, évitant d'être dévoré par ses matrones de location. Cela fait que la vie de la larve dépend totalement du fonctionnement correct de ces glandes comédiennes de la cuticule et transforme le moment du linge de rechange en critique. Comme vous savez, tous les arthropodes changent sa cuticule et ce papillon n'est pas une exception. Récemment sortie de la chrysalide, la nouvelle cuticule de l'adulte manque des glandes les trompeuses que nous mentionnions et toute fourmi qui la détecte ne doutera pas de l'attaquer. C'est par cela que le papillon adulte fuit de la fourmilière de nuit, tandis que les fourmis sont inactives, comme un voleur inversé : en sortant de la maison avec crime nocturne et secret.

Les nouvelles investigations ont également donné avec la cause possible de l'extinction de la population britannique, puisque la relation biochimique de ces papillons était assez étroite avec une espèce de fourmi (je me rappelle : Myrmica nausithous), mais non avec les autres. Apparemment, au vallarse l'aire où il vivait la dernière population de papillons, le bétail a arrêté de se nourrir dans l'aire et le pâturage s'est fait quelques centimètres plus haut. Cela a suffi pour que la température moyenne du sol descendît d'une température une paire de degrés, et ce refroidissement du sol a été suffisant pour que Myrmica nausithous fût déplacé par une autre espèce de fourmi très similaire, M. scabridonis, non susceptible d'être trompé par les glandes des larves du papillon, qui se trouvaient incapables de compléter son cycle.

Des ironies de la vie, de la mesure désespérée, pour protéger la population anglaise de Phengaris avec toute la bonne intention du monde, c'était celle qui a provoqué son extinction dans l'île. Un exemple excellent qu'il démontre que les relations embrouillées entre les êtres vifs peuvent être très surprenantes et que, pour réaliser des travaux de conservation de faune et de flore, il ne faut pas fatiguer de faire de la recherche et d'approfondir la biologie des espèces, ne va pas consister en ce que nous finissons par la lier par des choses aussi bêtes que deux centimètres d'herbe.

L'histoire des papillons hormigueras donnerait pour beaucoup parler : il y a des larves qui finissent par être carnassières et ils se nourrissent des oeufs et des larves des fourmis qui les hébergent; ils ont récemment découvert qu'en plus des tromperies chimiques, les larves de fourmis émettent aussi des tromperies sonores pour être identifié comme fourmis, et une sécurité que vous trouvez un savoir fascinant qu'il y a des guêpes icneumónidas (ces cabronas qui mettent des oeufs aux larves d'autres insectes pour qu'ils les mangent vis à l'intérieur en manifestant l'amour immense de Dieu) qui se posent dans l'entrée de la fourmilière et sont capables d'"entendre" s'il y a à l'intérieur une larve de papillon hormiguera avant de s'aventurer à entrer et à mettre l'"alien". Cependant je crois qu'il vaut la peine d'en finir avec une bonne nouvelle. L'année passée publiait dans Science quelques bons résultats dans la réintroduction de P. arion des suédoises dans les îles britanniques : les populations augmentaient merci, entre d'autres choses, au diagnostic correct du problème. Précisément là où le bétail recommençait à paître selon l'usage traditionnel du terrain, les populations du papillon prospéraient de nouveau en démontrant que la connaissance et l'investigation sont la clé pour le dessin de bonnes stratégies pour la conservation de la flore menaçante et de la faune, et qu'encore une fois l'abandon des usages traditionnels du terrain est cause probable de l'extinction de beaucoup d'espèces.

Dans la moitié du nord de l'Espagne vivent quatre espèces du genre Phengaris, y compris P. rebeli. Ci-mentionnée est considérée selon le Livre Rouge des Invertébrés de l'Espagne comme une espèce vulnérable. Ses menaces principales sont, comme c'était d'attendre, l'abandon du pâturage bovin et ovin de son habitat et la prolifération des pistes de ski á côté de certains de ses populations aragonaises.